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]]>Depuis que je suis maman, je saute en l’air régulièrement quand je vois par exemple que les shorts pour filles sont coupés sous la fesse, alors que les shorts pour garçons sont plus longs. A-t-on vraiment besoin d’un short à la Britney Spears quand on a 4 ans ou est-ce qu’on n’a pas surtout besoin de pouvoir jouer et se mouvoir facilement ? Ou encore (et là nous sommes nombreuses) à haïr les marchands de jouets pour leurs kits de la petite ménagère et leurs grues destinés à chaque sexe, sans confusion possible (tu sais comme ces photos que l’on voit passer sur FB de produits de ménage avec la mention « fête des mères » qui te donnent envie de boycotter l’enseigne à jamais).
Mis à part que ma fille adore les dinosaures et Sam le Pompier au même titre que Raiponce, ils soutiennent une image délétère de nos enfants, des moules cassés et des cases dans lesquelles plus personne ne veut rentrer. Il serait temps de faire bouger les lignes, mais ca me semble si long…
Bref, je voulais souligner une petite tendance à contre-courant en mode enfantine : celle des habits avec cape de super héro(ïne) intégrée. Quand j’ai vu ces deux vêtements (+ un autre modèle sur instagram mais jamais retrouvé), je me suis dit qu’il y avait de l’espoir! J’ai direct sauté dessus car je suis persuadée que c’est aussi dans ces détails que l’on apporte les petites briques de confiance en soi et d’estime qui leur serviront toute leur vie. Et vous verriez ma fille avec ses capes… Elle saute, imagine des trucs, se prend pour un Pyjamasque, se raconte des histoires… Elle est fière d’elle, et je suis fière qu’elle soit fière (vous suivez ?)
Il s’agit donc d’une robe et d’un t.shirt Gap qui ont une cape scratchée (donc amovible) dans le dos (je n’arrive pas à retrouver le produit sur le site, juste les tshirt), et d’un pyjama combinaison de chez Petit Bateau, vendu avec un masque (ICI, 39,90€) ! J’adore tellement l’idée… Et vous ?
NB : Ils existent aussi version garçon hein, bon pas la robe, mais les T Shirts
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]]>Le manque de sommeil à cela de magique que quand tu penses vivre l’enfer tu te rends compte qu’il y a toujours pire (un peu comme quand tu réalises en ayant un deuxième enfant qu’avec un seul c’était vraiment des vacances).
Or donc, vu la dégradation arrivée en 10 jours, après les vacances et pendant l’adaptation en crèche, j’ai décidé cette fois de demander de l’aide. Sur les conseils d’une amie, j’ai contacté une psy spécialisée (je vous donne tous les contacts en lien à la fin de cet article). C’est une consultation de 2h où doivent être présents les deux parents et l’enfant concerné. Celui-ci peut jouer (notamment avec une maison, des personnages et des lits etc…) pendant qu’ l’on expose toutes les parties de notre quotidien. Les rythmes, les soucis rencontrés, mais aussi la grossesse et l’accouchement, la configuration de la maison, des chambres, le travail des parents etc… Avec cette vision globale, la psy propose ensuite des pistes et quelques solutions pratiques. C’est une vision assez analytique, mais hautement révélatrice.
J’ai personnellement été un peu déçue au départ, je m’attendais sans doute à une analyse et des idées plus percutantes, MAIS j’ai aussi compris comment marchait vraiment cette consultation. En fait ce qui compte c’est que les parents entendent ce que dit la psy, que l’enfant entende ce que disent les parents et que tout ça soit vu par une tierce personne. Ça permet aussi de faire le point et de se recentrer sur sa détermination à dormir. En gros quand ça fait des mois que tu dors pas, tu as tellement la tête dans le c… que tu t’habitues. Tu n’en es pas à essayer plein de trucs comme expliqué dans cet article sur le fait de laisser pleurer ou pas, tu es dans la survie. De ce point de vue, la consultation te rebooste grave. On est ressortis de là avec pour mission de dire « non » quoi qu’il arrive à notre fille quand elle tentera de venir dans notre lit, et de la remettre inlassablement dans le sien, avec bienveillance, mais fermement et toute la nuit s’il le faut.
Là lectrice, je t’entends, tu te dis : super, tu paies 130balles pour dire non à ton gosse, super. Top révélation. Bravo. SAUF QUE. Sauf qu’en fait la magie opère pendant la séance. Et là nous avons été bluffés par l’attitude de notre fille qui a très bien compris de quoi il retournait.
Elle n’a pas perdu une miette de tout ce qui s’est dit et a réagi à tout : d’abord elle a joué, elle souriait. Ensuite elle a commencé à pleurnicher, à regarder la psy de travers, puis elle a été se cacher derrière un rideau en rigolant et en regardant la psy. Voyant qu’elle n’arrivait pas faire diversion, elle a ensuite carrément crié pour nous empêcher de parler, puis fait un caprice pour que je lui cède ma chaise et la prenne dans mes bras. Tout pour nous empêcher de parler d’elle, en gros. C’était fou car c’était vraiment des pleurs différents de d’habitude. On s’est adressée à elle en mode : ça ne te plait pas du tout n’est-ce pas ? Tu sens que l’on parle de toi ? Tu sens que des choses vont changer hein ? maya va dormir dans son lit à présent. Ça l’a beaucoup contrariée. C’était incroyable à observer.
Elle n’avait pas DU TOUT envie que l’on discute de tout ça, réalisant que des choses allaient changer… Elle a été jusqu’à monter dans sa poussette, et un peu plus tard, taper sur la porte en mode : je veux m’en aller ! Bref, elle entend, elle ne comprend peut-être pas tout mais elle entend et a bien compris qu’on était en train de mettre un terme a sa présence dans notre lit. A la fin de la séance, elle a d’ailleurs mis un bébé poupée dans un petit lit et l’a tendu à la psy… ça augurait bien. d’autant que rappelez-vous, la grande aussi a eu sa période où elle venait dans notre lit.
– souvent si les enfants réclament leurs parents la nuit c’est qu’ils ont besoin de passer plus de temps avec eux, et du temps de qualité : jouer, lire une histoire, faire un câlin, donner le bain …
– Etre au parc avec son enfant est un temps de surveillance : ce n’est pas considéré comme un vrai temps avec lui.
– L’enfant peut avoir besoin de limites et il les cherche : lui dire NON peut le rassurer
– Le second enfant peut avoir besoin de moments « enfant unique », sans la fratrie
– Le couple a besoin d’avoir son espace et de ne pas signifier à l’enfant que celui-ci peut le séparer (en en faisant dormir ailleurs)
– On peut dire à l’enfant qu’elle n’a pas besoin de nous rassurer en pleurant, parce que parfois on projette nos craintes et en fait l’enfant ne fait qu’y répondre.
– Lui parler de la jouréne qui va venir après le dodo lui permet de se projeter.
j’ai trouvé qu’elle avait oublié de parler de deux choses importantes : d’abord elle n’a pas tellement parlé des siestes, ni durée, ni fréquence, ni difficultés. Bon j’imagine qu’on l’aurait abordé spontanément, mais quand même, elle aurait pu demander. Mais surtout elle n’a pas parlé une fois des écrans. NI quand et si elle regardait la télé ou des dessins animés, ni combien de temps et à quelle fréquence. Or on sait que la lumière bleue induite par les écrans peut dérégler le sommeil… Donc si un enfant regarde 1h les dessins animés avant de s’endormir et a des problèmes, ça peut très bien venir de là…
Sinon, elle a conseillé de créer un rituel plus long avec histoires pour accorder plus de temps à l’enfant alors que l’on passe beaucoup de temps avec elle déjà, et du temps qualitatif. Je pense qu’elle a donc un peu calqué sa réponse sur une situation qui n’est pas tellement la nôtre. En revanche elle n’a pas donné d’autres pistes au sujet des réveils multiples en stress.
clairement, l’intérêt majeur de la démarche est de renforcer les parents dans leurs positions et leur détermination, en se servant de la tierce personne pour appuyer leur autorité. En gros, on faisait déjà tout bien, il n’y a pas eu de gros changements mais on est ressortis plus confiants en pouvant s’appuyer sur elle en disant par exemple « tu as entendu, la dame à dit… ».
Le soir même : bébé n’a pas dormi dans notre lit, mais pas vraiment dans le sien non plus : elle a voulu dormir par terre sur un petit matelas qui est là pour s’asseoir à la base. Et elle s’est réveillée toutes les 20 minutes entre 1h et 4h… en pleurant, en m’appelant, en refusant d’être couchée dans son lit. J’ai réussi une fois sur deux, on a fait des tours, on s’est même couchés par terre à côté d’elle.
Le lendemain : rebelote (sachant que le papa partait pour 4 nuits…)
Le 3 ème jour : amélioration avec même schéma mais moins de réveils, genre 10 à la place de 20 (ouai, faut rester optimiste hein)
Le 4eme jour : catastrophe absolue. Nuit horrible, elle m’a appelée mille fois, j’ai fini par lui hurler dessus, sa sœur est venue dans mon lit juste quand elle s’est rendormie, j’ai dormis 3h entre coupé. En revanche, j’ai fini par entendre quelque chose de nouveau. Quand je lui ai dit « Papa doit dormir, tu dois dormir, ta sœur doit dormir… » rien… mais quand j’ai dit « maman doit dormir » elle m’a répondu « non ». Au matin je lui en ai reparlé, et idem : « maman a besoin de faire dodo », réponse : « non » « si, maman doit faire dodo » « non ». Bref, je pense que le souci est un poil plus profond, sur fond de séparation (comme je m’en doutais)
5eme jour : couchée à 22h30, en vrac de la non-nuit précédente, je suis réveillée à minuit puis partie comme la veille, avec pleurs toutes les 20 minutes… à une heure du matin, épuisée, je l’ai prise dans mon lit de moi-même pour pouvoir dormir ne serait-ce que quelques heures
Le lendemain, légèrement désespérée, j’ai passé un coup de fil à la coach/psy qui m’a dit de continuer à lui octroyer des moments vraiment pour elle notamment en récompense du sommeil, et que s’il s’agit vraiment de terreur, il faudra qu’elle la revoir seule.
6eme jour : le papa est rentré, et nous nous sommes donc attelés à la tâche de la faire dormir dans son lit, mais à deux. Couchage sans souci, et 30 minutes après que je me sois couchée, pile quand je m’endormais, pleurs. Ce fut le début de centaines de va et vient du papa pour la remettre dans son lit, inlassablement, en mode «Maman fait dodo, c’est l’heure du dodo, on se verra demain. etc » déclenchant une colère incroyable, uniquement calmée par ma venue et un calin, mais reprenant dès que je repartais dans mon lit. Elle s’est rendormie après une heure de crise pour recommencer 2h après, jusqu’à 4h du matin…
Conclusion : la consultation marche certainement pas mal sur bon nombres de mauvais dormeurs. Chez nous, je pense que c’est un peu plus complexe mais je conseille à tous d’essayer de consulter car vraiment il se passe quelque chose pendant la séance.
A ce stade, nous avons fait un pas en arrière en la prenant directement dans notre lit (je sortais chez des copains, et sans ma présence, impossible de l’endormir dans son lit, et ce fut même difficile dans le nôtre…) En revanche, le lendemain nous avons essayé de la faire dormir dans la chambre de sa sœur. Idem : endormie sur un matelas au sol, mais plus tard dans la nuit, retour avec nous. Enfin, hier soir, nous avons déplacé son lit dans la chambre de sa sœur. Elles dorment donc officiellement ensemble, on va voir si ça aide. En tout cas, elle s’est endormie dans son lit mais ne s’y est pas rendormie quand elle s’est réveillée à 23h30… Le papa est reparti 5 nuits, j’ai rdv avec une magnétiseuse jeudi, on verra après. En attendant, je vais vous faire un article sur tout ce qu’il faut essayer quand un enfant ne dort pas car on est loin de penser à tout quand on est dans le jus…
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Comment bébé a fini par dormir
Tous les contacts et solutions pour que bébé dorme
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]]>Toi aussi tu es confrontée à des problèmes de sommeil et d’endormissement et, à bout, tu en parles autour de toi… Et après tu te dis que vu les réactions, tu aurais mieux fait de garder ton désespoir ta fatigue pour toi ? C’est parfois un peu ce qui m’arrive. Je dis un peu car en général les gens prennent pas mal de précautions, sans doute parce qu’ils savent que je suis limite à péter les plombs (18 mois sans sommeil, ça commence à abîmer la machine). Ils se disent aussi, que j’ai sans doute tout essayé. Sauf qu’en fait non on n’a pas « tout » essayé, car le sommeil c’est 50 nuances de gris, il n’y a pas UN symptome ou UN problème, en tout cas chez nous. En un an et demi, on a tout eu … . Des bonnes nuits, des nuits hachées, des biberons tardifs, les dents, des refus, des réveils… des hauts et des (très)bas, en somme. Et quand je relis cet article où je vous en parlai déjà, j’ai l’impression que tout n’est qu’un éternel recommencement…
En effet, tu penses que ça va passer, et d’ailleurs ça passe, ça s’améliore, tu espères, et puis quand tu enchaînes à nouveau une semaine à 3h de sommeil/nuit, tu as tellement la tête dans le c… que la journée tu es à mille lieux de te lancer dans une recherche de solution, tu essaies juste de tenir debout. De l’extérieur ça doit paraître bizarre et pourtant je le constate chaque jour avec ma communauté Instagram : nous sommes nombreuses à ne pas dormir sans pour autant chercher des solutions ou enchainer les rdv avec des spécialistes. Trop crevées. Excédées. Zombifiées.
A tous ceux qui ne vivent pas ça et qui, à un moment tentent le fameux « Tu as essayé de la laisser pleurer ? », nous sommes un grand nombre à avoir envie de dire « Et toi tu as essayé de fermer ta gueule ? ». No offense, mais la fatigue ça rend sensible et irritable, au bas mot (en vrai ça te détruit la tête et dérègle les émotions). Le manque de sommeil quand on y pense c’est un peu comme le syndrome prémenstruel ET le deuxième mois de grossesse mélangés: hypersensibilité et fatigue absolue. Sans déconner, pourquoi tout le monde demande ça? Déjà comme si c’était THE solution, et comme si il était possible que je n’y ai pas encore pensé.
Pourtant je peux comprendre l’incompréhension, moi-même (AVANT d’avoir des enfants, cela va sans dire,) je n’aurais pas compris pourquoi quelqu’un subirait ça sans essayer d’y remédier. En fait, si on ne court pas les spécialistes c’est aussi souvent car on « tente tout » par nous-même : dormir à côté de l’enfant, l’endormir dans nos bras, lui donner de l’oméopathie, blinder le bib de céréales, faire du cododo, et éventuellement le laisser pleurer, tout ça selon ce que notre état de fatigue permet d’endurer ou nos convictions d’envisager.
Personnellement, je n’ai jamais voulu laisser mon bébé pleurer. Evidemment, aujourd’hui, à 18 mois, ce n’est plus un « bébé » à proprement parler. Mais dès le début le sommeil a été un problème. Et je fais partie des gens qui pensent qu’à quelques mois, NON le bébé ne me « teste » pas quand il pleure, non il ne fait pas de « caprices ». Ca tombe bien, les neuronsciences le prouvent : il est intellectuellement impossible pour un enfant avant au moins 4 ans de « faire un caprice » à savoir, calculer son coup, tenter de nous manipuler. Son cerveau n’est pas apte à « manigancer ». Au mieux il tente des trucs et constate ce qui marche. En mode observation.
De ce point de vue, les pleurs sont le signe d’un vrai besoin, un besoin affectif, de réassurance ou autre, que j’ai tenté de combler, à chaque fois, depuis sa naissance. Alors oui récemment, quand mon grand bébé a commencé à rendre les couchers vraiment ingérables en refusant d’être déposée dans son lit (après avoir été endormie dans mes bras, comme depuis toujours), OUI j’ai essayé de la laisser pleurer. Bien sûr que j’ai essayé. A ce stade ce ne furent pas des pleurs mais des hurlements de colère, de frustration, voire des pleurs panique et surtout… sans fin. Au bout de 10-15 minutes, je suis allée la chercher, la retrouvant sanglotant, hoquetant, pourpre de colère, toussant comme si elle allait vomir. Forcément, après 2-3 fois comme ça, sans succès, je n’ai pas eu très envie de recommencer surtout que… la 3ème fois j’ai cru que c’était bon.
Soudain, plus de pleurs, j’ai eu l’espoir qu’elle se soit endormie, qu’elle ait compris ma détermination.
Sauf qu’en fait je l’ai retrouvée en bas des escaliers (les chambres sont en bas et le salon en haut). Sa détermination avait semble-t-il battue la mienne…
Imaginez ma stupeur. Elle avait réussi à s’éjecter de son lit à barreau, je ne sais pas comment. Elle n’avait pas l’air d’être tombée, elle avait même enlevé sa turbulette ! Elle a fait ça encore 2 fois avant que je décide de mettre un terme à l’expérience du « laisse la pleurer ». Trop dangereux. Parce que s’il a trouvé le truc pour sortir une fois, il va le refaire. Pourtant j’ai découvert des matelas rembourrés destinés à récupérer les bébés qui sortent de leur lit, mais comment dire… ils m’ont semblé être les produits les plus débiles qui aient été inventé sur le marché de l’enfant. Genre ton enfant va tomber, tu le sais alors tu mets un machin par terre mais tu le laisse derrière des barreaux, pourtant devenus inutiles? Gné? (voir Baby cloud ci dessus que je ne cite que pour pouvoir leur piquer leur photo)
Bref. On a ouvert son lit, CQFD.
Donc aujoud’hui, à force d’entendre certaines me dire qu’elles ont laissé pleurer leur enfant et qu’au final, il a accepté la situation et dort parfaitement, exténuée et prête à persévérer -bien que cela soit à l’opposé de mes convictions- si cela peut me permettre de DORMIR ne serait-ce qu’une nuit, et bien aujourd’hui, à toi qui pose la question je réponds que même si je voulais, je ne ne pourrais même plus « essayer de la laisser pleurer ».
Alors, après 10 jours sans sommeil (elle se réveille toute les heures en m’appelant, même si je suis à côté d’elle), avec le lit ouvert et un gremlins qui ne s’endort plus que dans notre lit, aujourd’hui, donc, direction la consultation de sommeil avec une psy spécialisée. Stay tunned.
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]]>La solution s’est donc imposée à nous : il allait falloir investir dans des vacances avec baby club ET mini club. Et tout naturellement, on a pensé Club Med. Pourtant, d’autres organismes proposent des séjours avec clubs enfants (Jet Tours, entre autre, je l’ai appris récemment). Mais la tête dans le guidon (du tricycle), nous n’avons pas voulu prendre de risque et avons misé sur « le Club », une valeur sure d’après nos amis qui avaient testé. A la base nous y avions donc pensé pour l’été, mais après avoir réalisé qu’aller en Italie en juillet ou aout te coûte aussi cher que prendre un jet privé, nous avons différé nos vacances de l’espoir, repoussées à décembre, là où aller au Club à Punta Cana est moins cher qu’y aller en Italie en été… CQFD. Nous avions eu de bons échos de ce club et nous n’avons pas été déçus.
Le voyage : forcément, c’est loin et le point le plus négatif de ce choix restera sans doute le temps de vol (9h) et le décalage horaire (6h de moins là bas) qui ne sont pas du tout idéaux avec deux kids de 1 et 3 ans et demi. (Au retour bébé n’a plus du tout fait ses nuits alors que nous y arrivions presque #tristesse). Ensuite il faut bien savoir que dans l’avion les places avec espace pour mettre un petit berceau peuvent être achetées : au retour des Russes avaient pris ces places et nous nous sommes retrouvés avec bébé sur les genoux pendant 9heures, ça fait long… Donc pour le vol, ça a été plus ou moins.
Sur place : nous avons eu de la chance car notre chambre était proche du centre du village, avec des enfants, ça compte car c’est très grand ! Gros point positif : les poussettes à dispo. Pas toujours propres ni en bon état, mais on peut les garder pendant tout le séjour, et donc faire faire les siestes dedans sans avoir eu à les emmener dans l’avion… hyper pratique ! Le club est vraiment bien, les restaurants au top, et bien sûr la destination est extra. Belle plage, belles piscines, avec un espace Zen magnifique refait à neuf très moderne et CALME dans lequel on peut aller quand les enfants sont au mini club. Le personnel est très dévoué, vraiment nombreux. Attention, les chambres ne sont pas luxueuses mais plutôt simples : ce n’est pas parce que c’est « le Club » et que ça coute un bras que les chambres sont 5 étoiles. Le prix va surtout au personnel je pense, plus qu’à l’hôtellerie.
on peut tout faire là-bas. Rester cool, participer à des activités, se faire des potes, rester bronzer… manger quasi quand on veut, ce qu’on veut, bref c’est vraiment très open, et on a discuté avec plein de gens très sympas, surtout via les enfants.
Côté nourriture pour les bébés, la je dois dire chapeau. Chaque restaurant possède un « baby corner » avec petits pots à volonté, purées fraiches, petits paquets de céréales etc… Bref, à part le lait en poudre et l’eau (penser à demander de l’eau aux femmes de chambre, sinon t’es cuit pour le biberon du soir), il n’y a rien à penser : ça c’est vraiment tranquillisant.
Les mini club et baby club : quand on cherche un club, il faut bien regarder car tous n’ont pas les deux. Nous avons aussi choisi cette destination pour ça. Ça coûte 300€ par enfant et par semaine, le prix de la tranquillité comme dirait mon mec. Evidemment, il faut être prêt psychologiquement à laisser son enfant. Avant de partir je n’étais pas sure de moi, et puis la fatigue totale m’absorbant, je me suis rendue à l’évidence : j’avais besoin de ce break. Les animateurs sont très compréhensifs, je pense qu’ils sont habitués à avoir des clients un peu ch…. Non pas que tout le monde soit super snob, malgré le prix il y a un peu de tous les styles. Mais exigeants, c’est sûr. Donc ils vont vraiment toujours dans notre sens, sont à l’écoute etc…
Le truc fou c’est que l’on peut même laisser les enfants le soir avec les animateurs pendant le diner, et ensuite à la veillée où ils vont voir un spectacle. En fait, tout dépend donc de l’enfant et de son adaptabilité. Nous avons croisé plusieurs familles qui avaient payé pour les clubs mais n’ont pas pu y mettre leurs enfants qui ne voulaient pas du tout y aller, pleuraient toute la journée et refusaient catégoriquement de se séparer d’eux. Chez nous, il y a eu des pleurs au début le matin, mais ensuite, en se faisant des copines, nous avons laissé la grande au diner 2 fois, et à la veillée sans nous une fois. Nous avons choisi de moduler selon son humeur et tout s’est bien passé, même si en l’observant de loin, elle ne semblait pas toujours très joyeuse, parfois elle avait l’air de s’ennuyer un peu. En fait elle s’est retrouvée à 3 ans dans une section ou les activités étaient assez simples, peut-être trop faciles pour elle. Je pense que le top c’est pour les pré-ados, genre 8-9 ans, qui peuvent faire des trucs de dingue genre du cirque, du sport, etc… et sont bien contents de ne pas être collés aux parents. La notre a participé au spectacle de fin de séjour ceci dit, à 3 ans, et c’était vraiment super de la voir en confiance : les animateurs sont vraiment au top. Pour le bébé, c’est plus dur de savoir si ça s’est « bien passé » car elle a souvent pleuré le matin, mais avant d’aller la chercher on se cachait dans les fourrés pour l’observer. Elle ne pleurait pas mais semblait un peu résignée, nous attendant manifestement. Niveau culpabilité j’étais au max. Du coup on faisait des petites journées pour elle. Nous avons aussi passé un jour entier avec la grande pour ne pas trop tirer sur la corde et profiter d’elle. En général nous faisons parti des parents qui aiment passer du temps avec leurs enfants en vacances, jouer avec eux… On ne rêve pas de s’en débarrasser du matin au soir.
Attention, pour le baby club, on ne nous avait pas dit d’apporter des lingettes en plus (on en a acheté à la boutique), ni une trousse pour chaque enfant pour y mettre change, maillot, lunettes etc, donc il faut bien penser qu’on laisse les enfants et bébés avec de quoi être changés, dont les couches qui ne sont pas incluses (mais on peut aussi en acheter à la boutique, héhé, pas fous !).
notre grosse déception c’est de ne pas avoir su que l’on pouvait rester 10 jours, et non 8 ou 15. Ayant réservé en ligne ce n’était indiqué nulle part, du coup on a pris une semaine seulement, et clairement, c’est trop court pour un tel voyage. Je reste assez fâchée de ne pas l’avoir sur car ça a eu pas mal de conséquences sur l’adaptation et l’humeur des filles, sur la fatigue, le retour et le fait d’optimiser le trajet. En 8 jours en fait tu commences à être bien vers le 4eme jours… Je ne comprends pas que ce ne soit pas marqué (ou alors on n’a pas vu mais je ne pense pas) ou qu’ils ne nous l’aient pas dit d’une manière ou d’une autre, lors d’un mail de confirmation par exemple. 10 jours ça aurait été vraiment parfait.
le 4 ou 5eme soir, quand tout le monde a été calé à l’heure locale, moins crevées, les filles étaient en forme pour aller diner un peu plus tard que les jours précédents (on était toujours les premiers au restaurant à cause du décalage horaire). Nous avons alors passé un moment sur la plage désertée par les gens partis se changer et nous avions l’impression d’être seuls au monde sous le ciel rose à assister à un coucher de soleil superbe derrière les palmiers, les filles jouant dans le sable blanc. Magique.
Alors, ca vaut le coup ? Il n’est certes pas besoin d’aller aussi loin ni de payer aussi cher pour passer de bonnes vacances, mais quand on n’a personne sur qui se reposer pour confier les enfants, et qu’on a envie de vacances clé en main, c’est un très bon choix. Tout est facile, c’est vraiment reposant, et, détail qui a son importance, c’est open bar toute la journée ! Ça vaut donc le coup pour souffler, pour se retrouver un peu tranquille et profiter. Je pense que le nous le referons mais sans doute un peu plus tard, parce que plus les enfants sont grands, mieux ça se passe pour eux, je pense. Et donc plus on est bien. Parce qu’il faut bien se l’avouer, on culpabilise quand même pas mal de les laisser le matin… Par rapport au prix, c’est assez élevé, bien sûr, nous on a pris ça comme un investissement pour la famille car on en avait vraiment besoin, mais je ne peux pas vous donner de fourchette de prix car ça dépend des chambres, de la période de réservation et du nombre de personnes…
Et vous? Ca vous tente? Vous avez déjà laissé vos enfants en club? Ca s’est bien passé? Lesquels? Partagez vos bons plans en commentaires!
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]]>Bref, on est en avril et je ne suis pas encore toujours sure de savoir quand je vais la chercher si elle sort d’une activité du centre de loisir ou d’autre chose. Il faut dire que pour des enseignants, ils ne cultivent pas l’art de la pédagogie auprès des parents. Le premier truc qui te heurte quand ton enfant entre à l’école, c’est l’opacité. Que font ils ? Quand ? Avec qui ? On te le dit vite fait lors de la première réunion (t’as pas intérêt à la rater, CQFD) et ensuite, silence, rideau. Donc au départ tu fais des choix un peu au hasard, et beaucoup selon ton emploi du temps. Moi j’ai voulu faire la bonne mère, quitte à me sacrifier : faire faire à mon bébé une semaine pas trop chargée, tout en ne pouvant pas venir la chercher chaque jour à 16h30 ( !!). Alors j’ai décidé de la laisser deux jours par semaine jusqu’à 17h30, mais de la prendre le mercredi après midi (déjeuner inclus) pour qu’elle fasse une vraie sieste dans son lit, mange un vrai repas et passe du temps avec moi. J’avais en tête de couper la semaine en deux et aussi de lui réserver une journée pour contrer toute jalousie envers sa petite sœur qui avait juste quelques mois au moment de choisir.
Ayant la plus petite deux jours entiers avec moi (je n’ai pas de place en crèche, juste une halte garderie 3 jours par semaine), je me suis dit que c’était comme si je passais à un travail à mi-temps, que j’aurais 2 jours et demi de travail par semaine (2 jours pour bosser mais comme je bosse chez moi tout le monde pense sans doute que je prends des bains interminables et que je matte des séries…) Bref. Le doigt dans l’œil le truc. Mais jusqu’au coude !
LE MERCREDI EST UN JOUR QUI N’EXISTE PAS. On nous ment !
Je t’explique : dans les faits, oui ils y vont « le matin », donc au départ, tu interprètes ca comme voulant dire une demie journée.
Dans la réalité de ta vie de desperate housewife du milieu de semaine, une fois que tu as été déposer ta petite à la crèche à 9h au plus tôt (pas avant avec nos horaires dans cette structure), le temps de la déshabiller, faire les transmissions, la laisser après 3 câlins et séchage de larmes, il est au mieux 9h30 quand tu rentres. Tu prends ENFIN ton café, tu vas un peu sur Instagram (ou pas), puis tu vas te doucher (ben oui t’as pas eu le temps avant puisque tu préparais la grande-pas-si-grande pour l’école pendant que ton mec qui bosse dans une entreprise « normale » occupait la salle de bain ne pouvant pas, lui, bosser en pyjama).
Bon. Disons que tu sors de là une fois maquillée et habillée à 10h au plus tôt. Bien sûr, si bébé a fait un gros caca PILE quand tu avais fini de faire les put*** de nœuds de ce put*** de porte bébé ergonomique machin, autant te dire que tu as perdu au moins 20 minutes à tout refaire (en général, c’est toujours un caca débordant histoire de te ruiner vraiment ton timing) et donc – principe de réalité oblige- il est plutôt 10h30 quand tu es libre. Idem si ça s’est éternisé à la crèche parce que tu as discuté avec une maman ou tout autre chose agréable qui a prolongé le moment.
Il est donc 10h30.
Et tu dois aller chercher ton autre enfant à l’école entre 11h20 et 11h30. Il faut idéalement que tu partes de chez toi à 11h15… Vous me suivez ?
Cette «demie journée » n’est donc en fait qu’un court instant de 45 minutes qui te permet, au choix :
Et bien sûr, il est aussi possible que tu aies eu l’ambition de faire autre chose quand même (genre écrire un article pour ton blog), et alors dieu sait comment tu arrives de toute façon en retard à l’école, suante et crevée (pensez à moi qui habite Montmartre, ça monte sa race, ils pensent tous que je fume comme un pompier vu ma respiration de phoque asthmatique quand j’arrive) (et sans avoir couru, pourtant – ca monte trop).
VOILA. Le mercredi est un mensonge dont personne ne parle mais que beaucoup de mamans connaissent. Il était temps de dire la vérité. Si toi aussi ton mercredi est une escroquerie, raconte-le en commentaire ! Ca m’aidera à relativiser ! Et bien sûr, la je ne vous parle que du temps que je pensais avoir pour moi mais que je n’ai pas. Je n’ai pas parlé du second tabou du mercredi: comment occuper les enfants l’après midi…
NB : l’an prochain (si par malheur je n’ai toujours pas de place en crèche à temps plein en septembre), je garderai mes DEUX filles ensemble le mercredi. Quitte à sacrifier une journée autant le faire complètement et m’en dégager une entière pour moi un autre jour hein…
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La Couleur des Emotions
Un grand livre pour apprendre à reconnaitre ses émotions à l’aide de jolis pliages en 3D, de couleurs et de mots précis et forts : tout ce que j’aime. J’ai rencontré pas mal de parents qui ont acheté ce livre et mon petit doigt me dit que c’est souvent pour la page sur… la colère ! En tout cas, ça met des mots qui peuvent aider, et c’est très joli ! Seul bémol, le prix : faites le vous offrir ! Edition Quatre Fleuves (21,90€)
Mon Amour
Le premier de ce qui est devenu une série par le même duo d’auteure-illustratrice qui misent sur la poésie et des idées franches et décalées, qui font écho souvent à ce qu’on appelle l’éducation positive. Ici la maman dit à son petit garçon un truc hyper important : qu’elle l’aime, quel que soit les bêtises qu’il fait ou son apparence, mais aussi qu’elle l’aime quand ils ne sont pas ensemble ou quand elle est fâchée. Une idée que je me suis appropriée quand je dis « Je suis en colère. Je t’aime toujours mais je suis fâchée que tu aies fait ci ou ca ». Super phrase pour s’exprimer mais rester bienveillant… Chez Albin Michel Jeunesse (9,90€)
Le Loup qui voulait faire le tour du monde
Là on est plus dans le genre de titre qui se veut éducatif, pour apprendre des choses au fil des pages, et en l’occurrence les grands traits et choses à connaitre sur différents pays et villes. C’est pas mal, drôle et facile à lire même si on a l’impression qu’ils ont voulu caser plein de connaissances un poil au détriment de l’histoire que je trouve un peu confuse à la fin (la dame yéti qui poursuit le loup partout jusque chez lui, mouai bof, pas très compréhensible pour ma fille en tout cas pour l’instant) Chez Auzou (5,95€)
Toi, Moi, Nous
Un livre que l’on m’a offert lors de l’arrivée de la petite sœur et qui m’a été fort utile. Je ne l’aurais sans doute pas acheté moi-même mais il remplit sa mission : l’histoire de Léon qui va à la maternité avec son papa pour découvrir le bébé qui est né est simple et chouette, avec des petits découpages de fenêtres qui rendent la lecture ludique : ma fille s’amuse avec ses doigts à mimer le petit garçon qui monte les escaliers découpés dans les pages. (12€)
Voilà pour cette petite sélection ! Hâte de savoir si vous les avez ou si ils vous font à présent envie.
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]]>Nous le vivons presque toutes et tous. Pas la peine de faire genre « Pas moi, non, non, tout va bien » (ou alors tu as une sacrée chance, ou beaucoup d’argent et tout plein de gens pour t’aider, ou tu prends beaucoup de drogue), bref, pas de politiquement correct ici, quand je discute avec vous, avec des copines ou des inconnues sur les réseaux, c’est clair : ce n’est la panacée pour personne. On cherche des solutions, on s’accroche, on positive, on tente de se faire du temps pour soi, pour nous, bref, chacun lutte comme il peut à ce qui semble être une fatalité, en général, mais en particulier quand on a des enfants.
Nous le gros problème, c’est le manque de sommeil qui nous mine. Alors on fait le dos rond, on attend que ça passe, que les nuits soient meilleures, que les filles grandissent, mais parfois je me demande, comme beaucoup d’entre vous me l’ont confié : « Et si ça ne revenait pas ?». Je me dis qu’on ne va pas pouvoir passer une vie comme ça, en ayant troqué la flamme contre la flemme permanente.
On ne s’était jamais disputés avant d’avoir un enfant. On ne s’est jamais autant disputés que depuis qu’on en a deux.
Pour essayer de comprendre, j’ai un peu passé au crible ce qui nous stresse ou nous divise. J’ai alors eu une pensée culpabilisante que je n’avais jamais eue avant : j’ai imaginé comment on irait si nous n’avions que notre première fille. Je me suis dit que l’on serait plus heureux. Gloups ! J’ai imaginé des nuits complètes, des soirées dehors plus souvent et plus tôt (et pourtant, on sort), j’ai imaginé des activités plus fun le WE (au lieu de composer avec les siestes), j’ai imaginé le temps pour nous, séparément et ensemble. Pourtant, ne soyons pas de mauvaise foi, tout n’est pas la faute de notre seconde fille adorée. C’est l’ensemble. Une copine m’a dit que pour elle ça avait vraiment commencé à chier avec le deuxième enfant et était d’accord pour dire qu’étrangement, le second enfant semble multiplier par 1000 le rythme et les obligations (alors qu’en toute logique tu t’attendais à ce que ça les multiplie par 2).
Mais alors, le couple est-il compatible avec les enfants ? (et vice versa) Je pose la question !
Faut-il juste passer le cap, le tunnel des premiers mois/années ? A quoi ça tient finalement qu’on s’engueule ou pas ? Qu’on reste ensemble ou pas ?
Toutes les copines (TOUTES) vivent ça, je le répète, au moins à une période. Certtaines retombent sur leurs pieds, d’autres nom. Coucou lectrice derrière l’écran, sache-le, (et n’ai pas honte) tu n’es pas seule !! Pas seule à ne plus trop baiser parce que t’es crevée, que tu t’es pris la tête avec ton mec, que c’est pas le bon moment… Pas seule à en vouloir à ton mec au point de parfois penser te barrer, tout simplement. Pas seule à t’en faire pour la suite quand les divergences se font sur l’éducation ou d’autres sujets importants à vie. Pas seule à avoir l’impression de te plaindre et de ne pas être entendue, à te trouver moche et grosse, molle, à ne plus te ressembler, à ne pas réussir à reprendre le dessus. A culpabiliser pour les enfants parce que tout ça est sans doute un peu/beaucoup de ta faute, penses-tu, et que bien sûr ils en pâtissent.
N’en déplaise aux bien-pensants que j’entends d’ici taxer cet article de déprimant ou négatif. Vos gueules : c’est vraiment comme ça. Bien sûr, on ne l’avoue pas (trop), mais nous sommes beaucoup beaucoup dans ce cas. Faut arrêter avec le mythe savament entretenu de la famille Ricorée ou des pubs Gap (ou des comptes Instagram ultra léchés qui sentent un peu trop le #bonheur et la perfection pour être crédibles) (moi je suis plutôt team #reallife sur Insta)
En revanche, certains semblent avoir des solutions, ou disons avoir réussi à tenir le choc. Oui oui les filles, on voit même dans la rue des couples heureux, détendus et souriants, avec chacun un enfant dans une main. Serait-ce ça qui fait tenir ? L’espoir de se retrouver quand enfin les enfants ne monopoliseront plus le devant de la scène/du lit/des soirées/des vacances.
Quand on sera sorties des couches-purées-dents-gastro-otite-pas-de-place-en-crèche. (ah oui bien sûr, ça compte ça hein, surtout quand comme moi on bosse à la maison, avec 3 jours de crèche seulement : la folie me guette parfois à devoir faire tenir une semaine entière en 2 jours seulement, because en plus des deux jours avec la minus, le mercredi j’ai la grande). La famille ça compte aussi hein (en 3 ans nous avons dormi sans enfant une unique nuit car nous n’avons personne à qui les laisser en toute confiance pour l’instant). Sure que ceux qui sont bien entourés et ont pu ou peuvent régulièrement partir en vacances/en week end seuls, en laissant les enfants en confiance, ont plus de facilité à récupérer et se retrouver.
Ceci dit, ce que je me dis malgré ça c’est que l’on n’est pas du tout les plus à plaindre. Au final on s’engueule presque uniquement sur la forme, parce qu’on est excédés, fatigués (surtout moi), et un peu déprimés côté boulot. Mais je pense à ceux et celles qui ont un enfant malade (inquiétude, analyses, hôpital…), qui sont eux même malades, qui se fightent sur des sujets de fond, sur les thunes, qui ont un appart trop petit, un job difficile… ça aide à relativiser… Tant qu’on n’en est pas à ne plus se supporter du tout, je pense de toute façon que la vie peut être aussi monotone -voir plus- séparément qu’ensemble. Faut pas croire : à deux c’est quand même plus facile (poke les mamans célibataires à qui je tire mon chapeau), et ceci même si nous avons constaté combien il est plus facile (pour nous) de s’occuper des enfants séparément. C’est-à-dire que quand l’un des deux fait un truc de A à Z, ça se passe mieux que si on essaie ensemble car on le fait comme on veut, comme on le sent selon un processus maîtrisé ; si l’autre intervient (souvent pour dire n’oublie pas ceci, ou fais comme cela), ca complique au final. C’est pareil chez vous ? Du coup on essaie de se partager des tâches entières pour éviter de se critiquer.
Nous ce qui nous rassure c’est aussi de se dire que d’abord rien n’aurait été pareil si on avait dormi : un an de nuits coupées hachées, à ne dormir que 3 ou 4 h d’affilée, ça abime très très fort à l’intérieur. On se dit que n’importe qui aurait pété les plombs. Serait nerveusement usé. Et puis on n’est pas pressés. On est conscients qu’à trop vouloir être « comme avant » maintenant, on va être malheureux (d’autant que plus rien ne sera jamais comme avant, autant l’accepter hein, ni mes seins, ni nos week ends !) (et tant mieux) (pour les week ends…). Alors on accepte de passer par la case « équipe ». On assume le côté entraide. On essaie de rire du fait que regarder une série à 21h après avoir mangé la fin des pâtes des filles est parfois le sommet de notre vie de couple. Ça vous parle ?
Hey, pssst ! Vous savez quoi ? Une fois on est allés au restaurant, et va savoir pourquoi on s’est embrassés comme ua premier jour. Comme ça. Donc ça peut revenir (pour autant que l’on n’a pas les mains dans le caca et du vomi sur l’épaule) (ou l’inverse).
Et puis il y a 15 jours, on a fait un truc de dingue.
Mais vraiment fou.
Qu’on n’avait pas fait depuis 4 ans.
Nous sommes allés au cinéma.
Carrément.
Les dingos.
Alors il y a bien de l’espoir, non ?
PS : si tu as lu cet article et que tu ne vois pas, mais alors pas du tout de quoi je parle, bah… ne dis rien va, merci
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]]>Voici la première édition d’une sélection de 5 nouveaux produits vraiment malins qui peuvent vous faire gagner du temps ou qui sont compatibles avec des enfants !
C’est quoi ? « Une serviette capillaire conçue pour réduire le temps de séchage des cheveux de 50%, les protéger contre les frisottis et la casse, et les préparer à la coiffure – sans effort, en une seule étape. » peut-on lire sur le site de Sephora. Tout est dit non ?
Pourquoi ca intéresse les jolies mums ? Ben parce que déjà arriver à se laver les cheveux tient parfois du miracle avec des enfants, mais si on peut éviter de sortir les cheveux mouillés et de finir de les faire sécher dans le métro, c’est mieux ! (perso je les pré-sèche avec la serviette, je les aère au max avant de sortir, et ensuite je fais un bun. Quand je l’enlève au bout de 10 stations, ils sont quasi secs et bouclés, j’appelle ça le subway brushing ) Chez Sephora 29,90€
Ici encore, le concept n’est pas nouveau : il s’agit d’un fard à paupière crème, qui peut s’appliquer avec l’embout mouse ou au doigt, et être estompé. Une fois posé, la matière est modulable pendant quelques secondes avant de se fixer et d’offrir une tenue irréprochable. Mais la version Bourjois offre une large gamme de couleurs comme on aime : taupes, gris ou sable dans différents tons.
Pourquoi ca intéresse les jolies mums en particulier ? Parce que vous pouvez vous prendre un jouet dans l’œil par votre charmant bambin, pleurer devant ses premiers pas ou encore vous frotter les yeux sans réfléchir parce que vous tombez de sommeil à cause d’une nuit pourrie, la couleur ne bouge pas ! Conclusion : vous êtes encore à peu près digne une fois les enfants couchés. On dit bravo ! Sur Bourjois.fr 11,95€
Cette formule a tout bon : un démaquillant micellaire bi-phasé qui dégomme tout maquillage tenace, adapté aux peaux sensibles et dans un flacon de 400ml.
Pourquoi ca intéresse les jolies mums en particulier ? On aime déjà le flacon qui dure longtemps (parce qu’on n’a pas que ça à faire de faire les courses hein), mais surtout l’efficacité de ouf du produit. Franchement quand tu arrives à la fin de ta journée, rincée, épuisée, et fatiguée comme si tu rentrais de boîte (alors que pas du tout, on est d’accord), si en plus il faut frotter pour se démaquiller, soyons honnête, on risque de zapper ou de bâcler le truc. Là, ça marche tout seul, ça glisse et ça élimine tout sans tirer la peau : en bonus pour celles dont l’épuisement maternel assèche et déséquilibre la peau (ça peut aller jusqu’au dartre), c’est tout doux. 5€ chez Monoprix
Ce baume riche est super concentré en Life Plankton, un actif régénérant, dans une formule spéciale peaux sensibles… au un pot airless hautement protecteur. Avec du beurre de karité et de la vitamine E antioxydante, c’est un bon produit pour les peaux fatiguées. Stimulant et cocoon.
Pourquoi ça intéresse les jolies mums en particulier ? Parce que c’est une crème à la texture réconfortante, seul moment de douceur parfois dans la journée), mais aussi et surtout pour son incroyable système de diffusion : on ne met plus les doigts dans le pot, et aucun petit être de notre entourage non plus ! Les enfants peuvent s’en emparer, le faire tomber, dévisser le bouchon, ils n’arriveront pas à en obtenir une goutte, ni à baver dedans. En plus moi j’aime bien son parfum marin ! Sur Biotherm.fr et chez Nocibé, 49€
Le principe de l’encre à lèvres, ce n’est pas nouveau, mais ce super produit reste encore trop méconnu. Il s’agit d’une formule liquide qui dépose des pigments sur les lèvres, sans sensation de matière. La couleur obtenue est transparente mais intense, et surtout, intransférable avec effet lèvres nues et très longue tenue. Tout ça chez Clarins avec un petit gout fruité.
Pourquoi ça intéresse les jolies mums ? déjà le côté très longue tenue, mais aussi la facilité d’application : pas besoin d’être très précise, on peut même en déposer juste un peu au creux des lèvres d’une main, avec bébé dans l’autre bras, pour un effet lèvres mordues. Enfin et surtout, les encres à lèvres ne laissent aucune trace : on peut bisouter nos bébés et nos enfants sans les affubler de traits colorés sur le front et les joues ! Note : en revanche, à ne pas laisser entre leurs petites mains car la texture est vraiment liquide et coule du flacon avec effet tâches indélébiles sur la canapé/le sac/le plancher au passage… j’ai failli les éliminer à cause de ca, mais elles sont trop bien! Sur le site de Clarins 23€
Photo: coussin tour de lit modulable Catalune, Vert Baudet et tétine Dodie
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